Nom : inconnu
Prenom : Aëlwin
Surnom : Genso; BELENOS
Age : 63 ans
Fonction: voyageur errant
Relations de départ : aucune
Présent dans Shadow-rpg ? : Non
Argent de départ : pauvre: Seulement de quoi boire un coup… et encore…
Equipement : Une toge noire, épaisse et lourde.
Histoire : La porte de l’auberge s’ouvrit lentement sur une ombre dont les contours peu distincts prenaient environ, légèrement moins des quatre cinquièmes et demi de la largeur et de la hauteur de l’encadrement de l’ouverture attestant de la taille et de la carrure ni haute ni large mais pas pour autant petite et mince.
L’opacité fit un pas en avant, s’engageant dans l’antre, elle était maintenant nettement plus précise : une épaisse toge noire recouvrait un corps dont nulle parcelle de peau n’était visible. Seule une ouverture au sommet de cette agglomérat de coton teint attestait du fait que la créature pouvait y voir quelque chose sous ce draps sans être vu, cachée dans l’ombre.
Avançant lentement, d’un pas calme, la robe noire vint se trouver un tabouret au comptoir. L’être s’assit et attendit que l’aubergiste daigne lui accorder l’attention quelques secondes, suffisantes pour passer sa commande : un bol de cidre et un shoot de calva.
C’est il y a 5o ans que Aëlwin est né de deux parents humain dans la grande ville Erukaï, Capitale du peu réputé mais puissant royaume d’Elaïr. Fils d’artisans, sa mère était couturière et son père forgeron, il apprit le travail du métal et du tissu dès l’age de 5 ans. Il aida ainsi ses parents dans leur commerce permettant à ses derniers de réaliser plus de travaux en un temps plus courts.
Agé de 6 ans, il entra à l’école et y appris à lire, écrire, compter et penser par lui-même. Le soir, lorsqu’il avait finit ses devoirs il retournait dans les ateliers afin de continuer ses travaux entamer et en commencer d’autres.
Un jour de ses 15 ans, alors qu’il travaillait sur une lame dans la forge de son père, se dernier étant parti au marché se ravitailler en métal, en charbon et en fils de toutes couleur pour sa femme, Aëlwin n’entendit pas les trois hommes pénétrer dans l’atelier de sa mère. Il n’entendit pas non plus les coups qu’ils portèrent à sa génitrice, ni cette dernière hurler pendant que ces trois gaillards la violaient et encore moins le fil de la lame trancher la fine peau qui recouvrait le cou de la couturière. Lorsque son père revint déposer les commissions à sa femme, Aëlwin, qui avait cesser de taper sur le métal, entendit cette fois ci le puissant cri d’horreur de son père, ainsi que tout le quartier. Le jeune homme accourut vers l’atelier et aperçut son père pencher sur le corps noyer dans le sang de son épouse. D’un pas mal affirmé Aëlwin s’approcha, son père ramassa le corps de sa femme et le serra entre ses bras tachant sa tunique du sang de sa femme. Déjà les gens commençaient à ce rassembler entourant le père, éploré, le fils, abattu, la mère, morte.
Lors de sa 19 eme année, Aëlwin pris la route du château et se présenta devant un gradé le priant de l’accepter dans les rangs de l’armée. Le pays se trouvait dans une passe difficile : la reine d’Islande demandait l’aide du roi d’Elaïr afin de vaincre l’armée des gnolls qui les traquaient depuis des décennies afin de maître la main sur le trône du pays des glaces. Le roi ayant accepté, les gnolls se dirigeaient vers Elaïr dans le but de mettre le royaume à sac. Le chef d’armée ne pouvant refuser l’engagement volontaire accepté le jeune dans les rangs et l’entraîna jusqu’au jour de la « Grande Guerre ».
Ce jour arriva et les deux armées se firent face dans les grandes plaines à l’entrée du royaume. L’armée gnole près de deux fois plus importante que les Elaisiens mena tout le long de la bataille, massacrant les soldats sans rencontrer de réelles difficultés. Aëlwin, qui avait appris à manier les armes avec son père grâce à son travail, se battait avec rage lorsqu’il aperçu le chef gnoll et entreprit de le pourchasser. Il se dirigea donc vers lui, annihilant ses ennemis sur son passage. Arrivé à auteur de son ennemi qu’il s’était désigné, il le héla et ils entreprirent une bagarre enrager. Le chef gnoll mordant, griffant et frappant de ses lames fixée à ses poignée ne parvenait pas à toucher Aëlwin qui, atteint d’une rage guerrière, évitait facilement les attaques de la bête et finit par lui asséner un coup fatal qui lui transperça le cœur. Sa tâche accomplie, il fut surpris par l’attitude qu’adoptèrent les semis animaux : voyant leur chef s’effondrer, ses derniers se replièrent avant de fuir de toutes pattes.
L’armée rentra au château, affaiblie de la moitié de ses hommes. Une grande cérémonie fut organisée pour accueillir les héros du pays et Aëlwin fut décoré par la plus importante décoration de l’armée : Chevalier du Roi, Héro du Peuple, alias BELENOS.
Suite à la remise de médailles, le jeune héro rejoignit son père qui fondit en larmes en voyant son fils, vivant, les écussons sur l’épaule, la médaille sur le cœur.
Quelques semaines plus tard la reine d’Islande amarra au port d’Erukaï et vint s’installer au château afin de célébrer durant une semaine entière la victoire sur les gnolls. Aëlwin fut invité lors des célébrations et fut assis au cotée de la reine des glaces au banquet royale. Intriguée qu’un humain de cette envergure, fils d’artisans ait réussit à abattre un chef de guerre gnoll, sa voisine entama une discussion avec lui apprenant petit à petit la vie que ce jeune homme avait affronté.
Les jours passèrent et à chacun, les deux jeunes gens se retrouvait l’un aux cotés de l’autre faisant connaissance, la reine contant les légendes de son peuple et Aëlwin la surprenant par sa connaissance des minéraux métalliques. Les jours passèrent et ces deux jeunes gens se rapprochaient de plus en plus. Le sixième soir, la veille du départ de la reine, la fête dura toute la nuit et les deux jeunes gens parvinrent à s’éclipser alors que l’alcool coulait à flot dans les chopes des attablés. Ils se promenèrent ainsi dans le château désert des hôtes présent dans la salle de fête et consumèrent l’alliance du jeune couple qu’ils venaient de former.
Le lendemain la reine s’en alla promettant d’attendre son amant afin de fêter leur mariage sur les terres de glace, Aëlwin présenta à sa dame une lame noire sur laquelle était gravées des inscriptions runique dorées, lame qu’il avait créée il y avait 2 ans de cela et qui lui avait servit à remporter la bataille contre les gnolls. En échange et à l’abris des regards, la reine lui apprit les secrets de la magie de la glace qui permettait de se défendre mais également de ce conserver, preuve de son amour car seuls les membres de la famille royale Islandaise avait le privilège d’apprendre et d’utiliser cette magie.
Ainsi la popularité du nouveau héro accru car il était à présent le futur Roi des glaces.
Deux semaines passèrent et Aëlwin dit adieu à son père et aux Elaisiens puis il pris la mère en direction du royaume de glace.
La route fut longue et périlleuse mais le bateau amarra finalement sur les cotes désertes d’Islande. Aëlwin traversa les terres glacées, parcourant l’île ne découvrant sur son passage que des villages déserts, nulle âme ne semblait habiter sur ce territoire mais pourtant des constructions humaines attestaient d’une présence passée. Quant il trouva enfin le château royal le bâtiment été entièrement gelée et il du utiliser ses faibles capacité en magie afin de libérer la porte du bâtiment. Il pénétra ainsi dans l’entrée principale. Cette pièce était toute en longueur, des poteaux alignés sur les cotés soutenaient le haut plafond. Au fond de la pièce le siège de la reine était dressé, vide. Au milieu de la grande pièce gisait un corps qui trempée dans son propre sang. Aëlwin s’approcha et s’écroula, le cœur éclaté par l’horreur de la scène qui se présentait devant lui : le corps de sa bien-aimée gisait, la gorge tranchée et l’épée noire aux inscriptions runiques enfoncée dans le ventre de la morte. Les gnolls s’étaient vengés. Le corps était gelé et les larmes du héro qui coulaient ne le réchauffaient pas
***
Malgré son âge qui commençait à être avancé (63ans) son corps restait bien conservé, conséquence de la magie de la glace conservatrice. Ne s’aidant jamais de ses connaissances dans la vie habituelle, comme lui avait apprit son maître, Aëlwin errait à travers les terres du continent et décida, sur un coups de tête de retourner chez lui afin de revoir son père qu’il n’avait pas vu depuis des dizaines d’années.
Sur la route il rencontra un régiment de gnolls qui ravageait une ville de pauvres paysans sans défenses ce qui raviva sa haine envers ces créatures. Ce fut la première fois qu’il utilisa ses nouvelles capacités. Seules quelques créatures parvinrent à fuir mais ce n’est que lorsqu’il fut loin de ce lieu qu’il se rendit compte que son épée avait disparu de son fourreau.
Il arriva 5 semaines plus tard dans la capitale d’Erukaï où il fut accueilli par la haine de l’armée royale et, non désireux d’utiliser sa magie contre ceux qui faisaient partie de son peuple il décida de rebrousser chemin ne comprenant pas la réaction des siens. A la sortie de la ville, il aperçut un vieil homme qui s’approcha et le serra dans ses bras. Son père. Il se réfugiait dans une forêt à l’écart de la ville car il était également mal vu par les habitants qui l’avaient chassé de sa demeure. Ne comprenant pas ce qu’il se passait dans le royaume, il demanda à son père de lui raconter ce qu’il s’était passé depuis qu’il était partit. Il apprit ainsi que quelques jours avant qu’il arrive en ville, le roi avait été retrouvé assassiné dans sa chambre, l’épée filigranée forgée par Aëlwin lui même à ses cotés. La haine envahit l’ex héro mais son père le résonna : il était inutile de s’en prendre aux Elaisiens. Ainsi Aëlwin resta avec son vieux père, apprenant les secrets des runes, dans une cabane qu’il avait construit pour lui dans la forêt jusqu’à la mort de son géniteur.
Il entera son père au cœur de la forêt sous une tombe qu’il façonna dans le sol même puis il reprit la route, n’ayant aucune raison de rester plus longtemps en ce lieu.
Suite à une course poursuite après des gnolls qu’il avait croisé sur la route et qui avaient fuit en direction de la plaine noire, il ressorti de l’autre coté et pénétra dans la ville de Nagaroth, un corbeau le suivant depuis sa sortie de la plaine. Errant dans les rues il découvrit une auberge : « l’auberge du vieux chêne ». Il se dirigea vers le bâtiment et ouvrit la porte.
Description physique : sera précisée plus tard (quand les personnages joueur ou non joueurs le découvriront)
Description morale et psychologique : Calme, serein en général mais impulsif quand on le titille trop. Haineux si un gnolls est présent.
Aime / n'aime pas : aime les jolies filles, l'alcool et la fête/ n'aime pas que l'on se moque de lui
Créature détestée : les gnolls
L’histoire du personnage ne figure pas entièrement pour la simple et bonne raison que je ne veux pas dévoiler ses capacités avant que les autres personnages ne les connaissent sans les découvrir eux-même. Les zones rouges (
***) correspondent aux passages manquants de l’histoire.
L’avatar sera changer en fonction de l’apparence du perso.
Bonjour à tous et désolé si le RP n’est pas super…
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